Les auteurs, tous trois cavaliers, ont laissé dire à leurs chevaux tout ce qu'ils avaient sur le coeur, l'amour et les rancoeurs nées de l'incompréhension mutuelle, l'inattention et l'égoïsme. Ainsi s'expriment Cinq-à-sept, cheval de courses, Cheval-papin, destiné au manège, et César-du-Semnoz, issu d'un élevage familial et choyé par ses maîtres, qui doit rejoindre son nouveau propriétaire.